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18 juillet 2014 5 18 /07 /juillet /2014 16:33
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Télécharger les fiches avec les 94 propositions
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18 juillet 2014 5 18 /07 /juillet /2014 16:31
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18 juillet 2014 5 18 /07 /juillet /2014 16:29
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Télécharger le tract

Cet été, les militants CGT iront à la rencontre des salariés saisonniers avec trois caravanes : deux à l’Ouest, une au Sud. Ils leur distribueront ce tract pour leur proposer de s’informer sur leurs droits et connaître les propositions revendicatives de la CGT.

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18 juillet 2014 5 18 /07 /juillet /2014 16:29
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Télécharger le flyer aux vacanciers

Cet été, les militants CGT des trois caravanes des saisonniers s’adresseront aussi aux vacanciers à l’aide de ce flyer.

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18 juillet 2014 5 18 /07 /juillet /2014 16:28

Télécharger le Guide des saisonniers 2014

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4 juillet 2014 5 04 /07 /juillet /2014 09:01

 

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6 juin 2014 5 06 /06 /juin /2014 10:57
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1 juin 2014 7 01 /06 /juin /2014 15:26

Déclaration de la Commission exécutive confédérale

 

Les résultats des élections européennes en France font apparaitre plusieurs éléments extrêmement inquiétants pour la démocratie et le vivre ensemble au niveau national et européen.

Tout d’abord, il convient de noter, à nouveau, une forte abstention puisque 6 électeurs sur 10 ne se sont pas déplacés. Cela confirme, s’il le fallait, le rejet grandissant de la population pour cette Europe des marchés financiers qui conduit à toujours plus d’austérité pour les salariés, les retraités et les privés d’emploi.

Pour la première fois depuis la fin de la deuxième guerre mondiale, un parti d’extrême droite, le front national, arrive en tête d’une élection. Pour la CGT, ce vote est une impasse. Ce parti utilise la misère sociale, la montée des inégalités et la hausse du chômage pour diffuser, par ses idéaux, le racisme, la discrimination et ne propose que le repli sur soi.

Ce vote de l’extrême, dans de nombreux pays européens, caractérise pourtant la défiance envers les politiques européennes d’austérité qui ne répondent en rien aux aspirations des populations pour un véritable projet européen.

Enfin, par son faible résultat, le parti au pouvoir en place est, une nouvelle fois, désavoué dans ses choix gouvernementaux. Au lendemain des élections municipales, d’un remaniement ministériel, celui-ci a décidé de poursuivre, d’accélérer ses réformes, menaçant l’avenir des jeunes, des retraités, des plus pauvres et octroyant toujours plus de cadeaux au patronat.

Nous sommes devant une crise démocratique grave et profonde qui nécessite de changer totalement les orientations actuelles en matière économique, industrielle et sociale. La CGT, avec la Confédération Européenne des Syndicats, porte un projet européen qui constitue une véritable alternative de sortie de crise et de progrès social.

Ce projet permettrait la création de 11 millions d’emplois en relançant l’économie par un effort important d’investissement de l’ordre de 260 milliards d’euros par an pendant dix ans. Cette somme équivaut à 2 % du PIB européen soit deux fois le budget annuel de l’Union européenne.

Pour la CGT, une autre Europe est possible. La solution pour l’Europe ne réside pas dans les replis nationaux, mais passe par un socle social commun avec un haut niveau de protection sociale, un égal accès à des services publics de qualité, une politique industrielle ambitieuse au service de la croissance, de l’emploi et des salaires.

La CGT oppose à la logique de dumping social faisant du travail un coût, une juste répartition des richesses et pose clairement le problème du coût du capital.

La CGT, avec les salariés, les retraités et les privés d’emploi, s’emploiera à créer les conditions du rapport de force et développera les luttes sociales pour les salaires, l’emploi, les conditions de travail, le service public, la politique industrielle et la protection sociale, car elles sont autant de motifs d’espoir et porteuses d’une transformation sociale.

Les luttes sont nombreuses, c’est quand les salariés s’y engagent, avec la CGT, qu’ils se donnent les meilleurs moyens de les gagner, comme les salariés de SAM technologie en Aveyron ou ceux des Fralib.

La semaine d’action et de mobilisation du 23 au 27 juin sera l’occasion de se déployer sur les lieux de travail, d’aller à la rencontre des salariés sur leurs préoccupations et de mettre en débat nos propositions, avec une journée forte de manifestation et de grève le 26 juin.

Montreuil, le 27 mai 2014

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26 mai 2014 1 26 /05 /mai /2014 22:17
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Quelle malchance ! Au moment même où, unis comme toujours, le gouvernement et le MEDEF se lancent dans une campagne télévisée de promotion du « beau travail », deux études publiées, ce jeudi 22 mai, par la CGT des Ingénieurs Cadres et Technicien-ne-s (CGT-UGICT) viennent déconstruire le message enchanteur déjà mis à mal par le 9e Baromètre Edenred-Ipsos sur le bien-être et la motivation des salariés européens, rendu public en début de semaine.

« Les travailleurs de France sont plus mécontents au travail que leurs homologues européens », révélait, mardi 20 mai, cette étude, soulignant que « non seulement ils sont plus nombreux à se déclarer démotivés, mais ils se disent aussi plus souvent insatisfaits de la reconnaissance de leur travail, de la considération qu’on leur montre, ou encore de la rémunération fixe qu’ils perçoivent. »

Les deux nouveaux sondages rendus publics, ce 22 mai, par la CGT-UGICT, lors d’une conférence de presse à laquelle participait le Secrétaire général de la CGT, Thierry Lepaon, confirment s’il en était encore besoin que ce mécontentement est particulièrement ressenti chez les cadres et professions techniciennes et intermédiaires.

A travers ces études, conduites par Viavoice auprès de plus de 2 000 personnes en avril 2014, l’ensemble des sondé-e-s expriment une insatisfaction très forte sur plusieurs déterminants de leur vie au travail qui quantifient la reconnaissance professionnelle.

D’une manière générale, le sentiment d’être reconnu-e dans son travail s’est dégradé de 10 points depuis mars 2009 (33% contre 43%), chez les professions techniciennes et intermédiaires : « Aujourd’hui, 56% des sondé-e-s ne s’estiment pas reconnu-e-s dans leur travail. Dans ce contexte de travail tendu, 42% des sondé-e-s estiment ne pas pouvoir faire un travail de qualité…. Ce résultat témoigne de l’attachement des professions techniciennes et intermédiaires à vouloir travailler en respectant les règles et l’éthique professionnelle, même dans un contexte défavorable ».

Même insatisfaction chez les cadres qui considèrent que leur carrière stagne (49%), déplorent une charge de travail qui explose, un temps de travail de plus en plus difficile à maîtriser, et une sphère privée absorbée par la vie professionnelle, et estiment, au total, que « tous les indicateurs sont au rouge en matière de reconnaissance salariale ». Les mêmes se disent lucides sur l’origine de la crise et sur les moyens pour en sortir : l’enquête révèle ainsi que pour les cadres français « ce n’est pas en alimentant la financiarisation de l’économie que l’on sortira de la crise ».

Et voilà ruinée la belle campagne de communication du gouvernement et du MEDEF !

Le principe de réalité est là : il y a bien une crise du travail, une fracture ouverte, entre les aspirations à bien faire son travail, à œuvrer pour l’intérêt général et des modes d’organisation, des méthodes de directions qui sacralisent le « ni fait, ni à faire », la rentabilité financière, le « courtermisme ». Si l’on ajoute la déclinaison, sur tous les tons, du credo libéral sur le « coût du travail » qu’il faut réduire, on obtient désengagement et désenchantement.

Le monde du travail, le pays tout entier, attend bien autre chose que des clips vidéo sur le « beau travail ». Le monde du travail aspire à bien travailler, et que les moyens lui soit donnés de bien le faire.

Pour la CGT, un gouvernement et un patronat, qui dévalorisent le travail en le présentant comme un coût et non pas une richesse, ne permettent pas de construire l’avenir. Les salariés veulent travailler, créer, être reconnus. Leur qualification et leur engagement sont un levier indispensable à la compétitivité des entreprises car porteurs de qualité et d’efficacité.

Nous avons besoin de transformer le travail pour sortir de la crise et penser le progrès social. La CGT est engagée dans ce combat de la reconnaissance des situations de travail et de leurs transformations, car la sortie de crise ne se fera pas en sacrifiant le travail et les travailleurs.

C’est cette dynamique qui devra être au centre de la future Conférence sociale et non l’application d’un « Pacte de responsabilité » qui ne va qu’accentuer le « mal travail ».

Montreuil, le 22 mai 2014

Voir les sondages

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17 mai 2014 6 17 /05 /mai /2014 21:20

« Gelez les bonus des grands patrons, pas le point d’indice ! », « Salaires gelés, cote de popularité congelée »… Infirmiers, enseignants, pompiers, éducateurs, policiers, éboueurs… Les fonctionnaires se sont massivement mobilisés ce jeudi 15 mai, à l’appel des syndicats CGT-CFDT-CFTC-FA-FP-FSU-Solidaires-UNSA, en présence des chefs de file des principaux syndicats. Un avertissement au président François Hollande, qui a pris ses fonctions il y a tout juste deux ans, et qui n’avait jusqu’ici été confronté qu’à une seule journée d’action unitaire (CGT, FSU et Solidaires) de fonctionnaires, début de 2013.

 

Partout en France, dans les cortèges ou dans les divers rassemblements organisés, les fonctionnaires sont venus dire « stop à la baisse du pouvoir d’achat » et exiger « des hausses de salaire et des emplois publics de qualité correspondant aux besoins ».

« Point gelé = nouveaux pauvres », pouvait-on lire sur les banderoles du cortège strasbourgeois. Les syndicats veulent en effet avant tout un dégel du point d’indice, qui sert de base au calcul des salaires et qui n’a pas été augmenté depuis juillet 2010. Pour eux, l’annonce par le gouvernement Valls du maintien de ce gel jusqu’en 2017 est « inacceptable ». « Ce qu’on attend aujourd’hui – tous les syndicats –, c’est l’annonce immédiate du dégel de la valeur du point. C’est une justice sociale, c’est aussi un besoin économique », affirme Jean-Marc Canon, secrétaire général de la Fonction publique CGT.

Près de 120 rassemblements ont eu lieu dans tout le pays, dont une manifestation à 14 heures à Paris qui a rassemblé plus de 20 000 personnes. Les premiers défilés en province, dans la matinée, ont réuni plusieurs milliers d’agents : 25 000 fonctionnaires ont défilé à Marseille, 6 000 à Bordeaux, 2 500 à Clermont-Ferrand, 2 000 à Perpignan et à Strasbourg où les fonctionnaires marchaient derrière une banderole proclamant « Salaire des fonctionnaires, le compte n’y est pas ». Près d’un millier à Reims, 1 200 à Tours et 500 à Nevers. Dans le département du Loiret, 1 800 manifestants ont défilé dans deux rassemblements. À Nantes, 4 000 personnes ont manifesté en direction de la préfecture, rebaptisant au passage les rues avec des plaques comme « rue du salaire de misère » ou « rue du calvaire des fonctionnaires ».

Les syndicats des contrôleurs aériens ont aussi rejoint la grève de la fonction publique, entrainant quelques dizaines d’annulations de vols à Toulouse, Orly, Roissy et Montpellier.

- Voir la vidéo Les fonctionnaires massivement unis partout en France le 15 mai 2014 sur YouTube
- Télécharger la vidéo Les fonctionnaires massivement unis partout en France le 15 mai 2014

Diaporama des manifestations

Voici une sélection de photos militantes réalisées parmi les 120 cortèges dans tout le pays.

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