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8 septembre 2012 6 08 /09 /septembre /2012 20:23

Les objectifs politiques énoncés dans le document d’orientation du gouvernement - mener une action ambitieuse en faveur de l’insertion durable des jeunes, maintenir dans l’emploi des salariés seniors jusqu’à leur départ en retraite et organiser la transmission des compétences- sont louables et partagés.

La situation actuelle faite aux jeunes et aux seniors est en effet intolérable. Les uns ne parviennent à mettre les pieds dans l’entreprise que d’une façon précaire ; les autres sont éjectés de leur emploi. Le franchissement du cap des trois millions de chômeurs ne va qu’accentuer la tendance.

Cette situation génère une grande inquiétude et va demander au gouvernement de prendre des décisions courageuses et rapides. Comme les contrats d’avenirs, les contrats de génération ne sont pas une réponse suffisamment ambitieuse pour améliorer de façon significative la situation de l’emploi. Il est nécessaire de relancer la politique industrielle et d’avoir une véritable politique de service public.

La CGT apprécie positivement la volonté de conditionner les aides publiques y compris celles existantes à la politique sociale. Il est regrettable cependant d’envisager la création de nouvelles aides alors que l’évaluation contradictoire des aides à l’entreprise promise lors de la conférence sociale, n’est toujours pas commencée.

Nous estimons cependant que le cadre fixé n’est pas assez contraignant pour les entreprises, notamment vis-à-vis des accords de branches et d’entreprises et qu’il subsiste trop de risques d’effets d’aubaine, de même il n’est pas prévu d’évaluation du dispositif.

La CGT veillera lors des futures négociations à ce que toutes les conditions soient créées pour que le contrat de génération atteigne bien les objectifs fixés et soit facteur de création d’emplois stables et pérennes pour les jeunes.

Montreuil, le 5 septembre 2012

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8 septembre 2012 6 08 /09 /septembre /2012 20:21

69% des salariés des TPE jugent leur salaire inférieur à ce qu’ils devraient toucher, 65 % déclarent ne pas bénéficier de droits sociaux, 86% se déclarent satisfaits de leur métier, mais 54% estiment que leur profession est dévalorisée dans la société française, 90% jugent important d’être bien protégés juridiquement contre les accidents du travail, le harcèlement.

C’est que révèle une enquête Harris Interactive* réalisée entre le 20 et 30 juillet 2012 pour la CGT et disponible sur son site : www.tpe2012.cgt.fr

L’ensemble des réponses apportées lors de cette enquête met en évidence une forte aspiration parmi les plus de 4,6 millions salariés des Très Petites Entreprises, à voir leur travail reconnu et sécurisé au même titre que pour l’ensemble du monde du travail.

Ils auront la possibilité d’exprimer ces attentes lors des élections professionnelles auxquelles ils sont appelés à participer du 28 novembre au 12 décembre 2012. Actuellement privés de tout droit de représentation, ils pourront, pour la première fois, participer à la désignation des organisations syndicales qui les représenteront lors des négociations et concertations sociales à l’échelle nationale.

Pour la CGT, cela confère aux syndicats une responsabilité nouvelle vis-à-vis de ces salariés : être plus proche, plus à leur écoute et s’adapter à leurs situations, à la situation de leur entreprise.

Les 870 unions locales CGT présentes sur tout le territoire prennent toutes les dispositions pour accueillir les ouvriers, techniciens, employés, cadres de ces entreprises pour les entendre et leur apporter l’aide nécessaire à la défense de leurs droits.

Montreuil, le 5 septembre 2012

*Enquête réalisée en ligne du 20 au 30 juillet 2012. Echantillon de 1039 individus représentatifs des salariés de TPE (entreprises ayant moins de 11 salariés), à partir de l’Access panel Harris Interactive. Méthode des quotas et redressement appliquée aux variables suivantes : sexe, âge, secteur d’activité et région de l’interviewé(e).

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30 août 2012 4 30 /08 /août /2012 22:11

Communiqué de la Cgt et du Comité National Cgt des privés d’emploi

La nouvelle hausse record du chômage de 1,4 % en juillet porte le nombre de salariés privés d’emploi à 2 987 200 pour la seule catégorie A. Si l’on y ajoute les catégories B et C (travail partiel dans le mois), ce sont 4 733 000 personnes qui sont à la recherche d’emploi.

Avec ceux qui perçoivent le RSA, ceux qui sont en formation, etc… qui ne sont pas comptabilisés, la barre des 5 millions de chômeurs est franchie.

Les jeunes de moins de 25 ans et les plus de 50 ans sont les premières victimes.

La fin des CDD et des missions intérim sont les principales causes de cette hausse du chômage.

Au cours de la conférence sociale, la CGT a réaffirmé l’urgence de prendre de nouvelles dispositions pour protéger les salariés au travers d’une véritable politique de création d’emplois, tant dans le public que dans le privé, pour contrer ce qui ressemble de plus en plus à une offensive patronale organisée de dégradation de l’emploi dans tout le pays.

L’explosion du nombre de ruptures conventionnelles exige un encadrement par un nouveau dispositif plus favorable aux salariés. Les droits des représentants du personnel dans les entreprises doivent être renforcés pour qu’ils aient, entre autres, un droit d’intervention pour s’opposer aux suppressions d’effectifs.

La dégradation de l’emploi depuis plusieurs années, la hausse de la précarité, entraine une hausse de la pauvreté parmi la population et les salariés.

En cette période de crise, les propositions de la CGT pour une réindustrialisation, le maintien et le développement des services publics et la mise en place d’un nouveau statut du travail salarié sont des solutions pour une nouvelle politique de l’emploi au service de tous.

Employeurs et gouvernement ne peuvent continuer à se voiler la face, et proposer des solutions qui n’ont pour effets que d’aggraver la situation comme c’est le cas aujourd’hui en Espagne.

Il y aura toujours autant de chômage, de précarité et de pauvreté tant qu’il n’y aura pas une politique de l’emploi ambitieuse, des salaires permettant à chacun de vivre décemment, et la possibilité pour tous de partir avec une retraite pleine et entière dès 60 ans.

Montreuil, le 29 août 2012

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30 août 2012 4 30 /08 /août /2012 22:10

La situation de l’emploi -et en particulier de l’emploi des jeunes- est particulièrement préoccupante, nous en faisons tous le constat. La politique de l’emploi doit enfin se fixer l’objectif de création d’emplois de qualité pour répondre aux besoins économiques et sociaux. La CGT considère que les emplois d’avenir sont une mesure d’urgence qui devrait s’insérer dans une série de mesures plus ambitieuses tant pour les jeunes non qualifiés que pour les plus qualifiés. Il est indispensable de faire aujourd’hui mieux que ce qui s’est fait dans le passé en matière de contrats aidés. Ceux-ci ont démontré leurs limites concernant l’accès durable dans l’emploi. Il est hors de question d’entraîner les jeunes dans un parcours qui les laisserait trois ans après sans débouchés et sans « avenir ».

C’est pour cela que la CGT exige que ces emplois réservés aux jeunes peu ou pas qualifiés soient bâtis autour de trois conditions indispensables : • l’accès à une formation qualifiante, • un accompagnement et un suivi dans l’emploi par le service public de l’emploi, • un tutorat sur le lieu de travail.

Seules ces conditions peuvent permettre que ces jeunes accèdent véritablement à l’emploi pérenne. Leur mise en œuvre pose par ailleurs la question du manque de moyens du service public de l’emploi. Nous nous opposons à l’ouverture de ces contrats au secteur marchand où ils risquent de se substituer à des embauches qui auraient de toute façon eu lieu. Dans la fonction publique, l’emploi d’avenir ne doit pas servir à pallier aux sous-effectifs permanents mais répondre à la demande de nouveaux besoins.

En ce qui concerne les emplois avenir professeurs, le manque de concertation sur le projet a fait que, tant sur la nature du contrat, que sur les conditions de travail et d’étude, il n’y a pas de garanties suffisantes. Cependant le débat n’est pas clos et nous considérons que ce dispositif visant à faciliter pour des jeunes boursiers l’accès au métier d’enseignant peut et doit être amélioré.

La CGT attend donc sur l’ensemble de ce projet de loi « emploi avenir » des avancées significatives qui permettront d’ouvrir aux jeunes de véritables perspectives d’avenir.

Montreuil, le 27 août 2012

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30 août 2012 4 30 /08 /août /2012 22:08

Ce vendredi 24 août 2012 le Conseil supérieur de l’Education (CSE) a été consulté sur un article du projet de loi sur les emplois d’avenir concernant le pré-recrutement de jeunes issus de milieux modestes souhaitant préparer des concours d’accès aux métiers de l’Enseignement.

La CGT regrette que le Gouvernement ait choisi la précipitation pour créer ces « emplois d’avenir professeur ».

Le manque évident de concertation avec l’ensemble des organisations syndicales les ont amenées à apporter de nombreuses critiques sur ce projet et à demander des clarifications sur sa mise en œuvre lors du CSE. La CGT considère donc que le sujet n’est pas clos et qu’il faut continuer la concertation.

Autant nous soutenons la proposition d’aider les jeunes issus de milieux modestes à accéder aux métiers de l’Enseignement en instaurant un pré-recrutement, autant, le projet, en l’état, les conditions sociales, le statut du contrat, l’organisation du temps de travail avec le temps d’étude, les conditions en cas d’échec ou d’abandon restent à clarifier. Une concertation est en cours concernant la formation des enseignants, la discussion doit se poursuivre dans ce cadre-là.

La CGT réaffirme qu’une formation initiale de haut niveau et une formation continue sont deux éléments essentiels et indissociables. La démocratisation du recrutement doit être au cœur du débat et intégrer une réflexion sur le recrutement des enseignants.

Montreuil, le 24 août 2012

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30 août 2012 4 30 /08 /août /2012 22:08

Alors que les femmes tunisiennes se sont engagées avec courage dans la lutte pour la construction d’une société démocratique, elles subissent d’incessantes tentatives de remise en cause de leurs acquis historiques de la part des forces au pouvoir.

S’il était adopté, le projet de l’article 28, qui consacre une vision paternaliste en instaurant une notion de « complémentarité » des femmes par rapport aux hommes, marquerait une régression par rapport à l’actuel statut des femmes tunisiennes. Il irait à l’encontre de leur juste combat pour l’égalité pleine et entière. La transition politique que vit la Tunisie offre des opportunités sans précédent de consolidation des droits actuels des femmes, mais aussi de progrès. Progrès indispensables, notamment en matière de droit à la santé, à l’enseignement, à l’éducation, à l’emploi, à l’accès aux postes de décision, à la dignité, à l’autorité parentale…

Nous saluons la volonté de l’Union générale tunisienne du travail (Ugtt) de faire des droits des femmes une priorité d’action, et de combattre toutes formes de discrimination.

Nous affirmons tout notre soutien et notre solidarité envers les associations féministes, envers la Commission Femmes de l’UGTT, et envers toutes les organisations qui se mobilisent, à travers le pays, afin d’exiger l’inscription dans la Constitution en cours de rédaction de l’égalité totale entre les femmes et les hommes.

Montreuil, le 24 août 2012

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30 août 2012 4 30 /08 /août /2012 22:07

Déclaration commune de la CGT, de la Fédération des travailleurs de la métallurgie, de l’Union Départementale Du Finistère et du Comité Régional Bretagne

La législation européenne en matière de lutte contre la pollution marine prévoit des ports refuges pour accueillir les navires en détresse. Mais l’accident du MSC Flaminia montre les réticences des Etats à la mettre en œuvre.

Le 14 juillet 2012 au large de la Bretagne dans les eaux internationales à plus de 800 milles nautiques, une explosion à bord du porte-conteneurs le « MSC FLAMINIA » battant pavillon allemand causait le décès de deux marins et en blessait plusieurs.

Depuis 36 jours, ce porte-conteneurs cherche un endroit pour se réfugier, à deux reprises les ministres en charge de l’Ecologie des Transports et de l’Economie Maritime ont refusé à l’armateur du « MSC FLAMINIA » les eaux de la Zone Economique Exclusive (ZEE).

En décembre 2011, trois ports refuge étaient retenus par la France, Le HAVRE, CHERBOURG et BREST. Au moment de les utiliser, c’est une autre affaire…

La frilosité de l’Etat peut-il conduire ce porte-conteneurs qui transportait 2 876 conteneurs au fond de l’océan ? Persister à demander des garanties supplémentaires à l’armateur du « MSC FLAMINIA » est faire preuve de non-assistance. Allons-nous devenir la risée et le ridicule du monde maritime par manque d’initiative ?

Le port le plus proche pour accueillir ce navire est Brest où se trouve un chantier en capacité d’effectuer les travaux de réparation et de sécurisation nécessaire.

La Confédération CGT, la Fédération des travailleurs de la Métallurgie, l’union départementale CGT du Finistère et le comité régional Bretagne soutiennent les démarches initiées par le syndicat CGT des marins et exigent du gouvernement, des autorités concernées, pour que ce navire soit accueilli sur notre territoire afin d’éviter une nouvelle catastrophe maritime et pour qu’il soit réparé afin de poursuivre son activité.

Montreuil, le 23 août 2012

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30 août 2012 4 30 /08 /août /2012 22:05

L’Union Générale des Ingénieurs, Cadres et Techniciens de la CGT s’étonne de l’annonce du ministre du travail de ce mardi 21 août sur les emplois d’avenir et attend des clarifications.

 L’UGICT-CGT s’inquiète du flou entretenu par le ministre sur la durée du contrat, et du rapprochement entre les emplois d’avenir et les Contrats Uniques d’Insertion (CUI), dérogatoires au droit commun. Les emplois d’avenir seront-ils de nouveaux contrats précaires générant des effets d’aubaine et se substituant à d’autres emplois ou recrutements prévus ? L’UGICT-CGT s’inquiète également du ciblage des emplois d’avenir dans les collectivités territoriales, qui risque de se traduire par le recrutement de nouveaux précaires dans la fonction publique, en contradiction avec la loi du 12 mars 2012 comme avec les engagements du Président de la République.

La situation des jeunes non qualifiés exige des dispositions spécifiques. Cependant, pour être efficaces, ces mesures doivent être en rupture avec les orientations du gouvernement précédent et garantir aux jeunes l’accès au droit commun. A minima, l’UGICT-CGT exige que les garanties suivantes soient apportées aux contrats d’avenir :
·         Les aides publiques doivent être conditionnées au recrutement d’un jeune en CDI à temps plein
·         Des dispositions doivent garantir que le contrat d’avenir soit un nouvel emploi créé et corresponde à un nouveau besoin
·         Une formation qualifiante doit être garantie au jeune
L’UGICT-CGT s’interroge sur la faiblesse de la budgétisation de la mesure (500 millions en 2013, soit 5000€ par contrat). Les jeunes, priorité affichée du chef de l’Etat, seront-ils sacrifiés sur l’autel de l’austérité budgétaire ?
Adopter une loi cadre pour l’emploi des jeunes

Loin de se limiter aux jeunes non qualifiés, le problème du chômage et du déclassement concerne l’ensemble de la jeunesse et nécessite une nouvelle politique d’emploi. L’UGICT-CGT a adressé en juin aux parlementaires un projet de loi contenant 10 mesures concrètes permettant aux jeunes d’être protégés dans leur période d’insertion, stabilisés en accédant rapidement à un CDI et reconnus dans leur qualification. Ces dispositions ont reçu un accueil favorable de nombreux députés de la majorité.

L’UGICT-CGT souhaite que la loi portant création des emplois d’avenir soit modifiée et élargie et devienne une loi cadre pour l’emploi des jeunes, intégrant les mesures proposées par la CGT. L’UGICT-CGT va solliciter un rendez-vous auprès des ministres concernés pour leur présenter son projet de loi.

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30 août 2012 4 30 /08 /août /2012 22:04

Le gouvernement a décidé d’une réunion interministérielle sur la situation des Roms en France et particulièrement sur les moyens de leur intégration dans notre pays.

L’héritage sarkosyste est lourd vis à vis de ces populations, en particulier depuis leur odieuse stigmatisation dans le discours de Grenoble de l’ancien président de la République en juillet 2010. Dans ce domaine là aussi, il est grand temps de construire un vrai changement, que ce soit pour ce qui concerne le logement, la scolarisation des enfants, mais aussi et surtout le travail.

On ne peut pas reprocher à des personnes de vivre dans des bidonvilles s’ils n’ont pas une vraie possibilité de travailler !

La CGT, tout comme la Confédération européenne des syndicats, s’est prononcée pour l’abrogation des « mesures transitoires » qui frappent l’ensemble des citoyens Roumains et Bulgares et qui gênent leur accès normal au marché du travail de notre pays. Seuls 9 pays européens, dont la France, continuent d’appliquer ces mesures transitoires qui, de toute façon, devront disparaître au plus tard le 31 décembre 2013.

Restreindre l’accès au travail des migrants, qu’ils viennent de l’Union européenne ou de pays tiers, ne protège pas le marché du travail de notre pays.

Par contre, il est essentiel que les migrants qui travaillent disposent d’un contrat de travail aux normes françaises. Ce doit être de la responsabilité de l’employeur. C’est ainsi qu’il sera possible de lutter efficacement contre la concurrence de tous contre tous, organisée et développée par les tenants du libéralisme.

Pour ce faire, la concertation avec le Ministère du Travail et le Ministère de l’Intérieur sur les travailleurs migrants, qu’ils travaillent d’une façon ou d’une autre, et demandée notamment par la CGT, doit s’installer au plus vite.

Montreuil, le 23 août 2012

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30 août 2012 4 30 /08 /août /2012 22:03

C’est avec la plus grande fermeté que la CGT condamne le massacre perpétré par la police le 16 août 2012 à la mine de platine Lonmin de Marikana en Afrique du Sud.

La CGT s’incline devant les dizaines de mineurs en grève tombés sous les balles de la police. Elle a également une pensée fraternelle pour les soixante-dix-huit autres qui ont été blessés. On ne répond pas à des revendications sociales en assassinant des salariés en grève !

La CGT appelle solennellement la direction de Lonmin à ouvrir immédiatement et sans condition les négociations qui s’imposent pour une amélioration conséquente des conditions de vie (logements décents, accès à l’eau, à l’électricité,...), de rémunération et de travail de tous les mineurs.

Lonmin, société multinationale d’origine britannique, tire l’essentiel de ses profits de l’exploitation des mines de platine en Afrique du Sud. Lonmin est évidemment en capacité d’assurer une vie décente à ses salariés. Le travail décent doit s’imposer aussi là-bas !

Dix-huit ans après la fin de l’odieux régime de l’apartheid, la pauvreté et la misère pèsent encore lourdement en Afrique du Sud.

La CGT exprime tout son soutien et sa pleine solidarité aux travailleurs sud-africains. Montreuil, le 22 août 2012

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